Bachelor Son et Musique de l’ESIS : tout ce qu’il faut savoir

Publiée le 25 avril 2023
Bachelor Son et Musique de l’ESIS : tout ce qu’il faut savoir

Pour se lancer dans une formation dans le son et la musique, mieux vaut miser sur la pratique. À ce titre, le Bachelor Son et Musique de l’ESIS propose une formation immersive dans ces métiers passionnants et en constante évolution afin de produire la nouvelle vague de professionnels de l’audio. 

 

 

 

 

 

Qu’est-ce qu’un Bachelor Son et Musique à l’ESIS ? 

Le Bachelor Son et Musique est une formation de trois ans qui combine une immersion dans le monde du son et de la musique avec une solide base académique. Cette formation s’adresse aux passionnés qui souhaitent se lancer dans une carrière dans l’industrie de l’audio.L’ESIS est une école spécialisée dans les métiers de l’audio, qui offre des formations de haut niveau dans des domaines tels que la production musicale, le sound design, le mixage, ou encore le mastering. Le Bachelor Son et Musique est l’une des formations phares de l’école. 

Ce Bachelor, c’est surtout une formation avec des objectifs pédagogiques ambitieux. 

  • Maîtriser les techniques audio et sonores 

  • Effectuer des prises de son sur des sets de tournages 

  • Enregistrer tous types de musique en live ou en studio via différentes consoles professionnelles 

  • Masteriser des albums via des consoles professionnelles 

  • Sonoriser des salles de spectacles 

  • Capter tous types de spectacles et de sons via des consoles et des micros professionnels adaptés 

  • Mixer et post-produire tous types de projets audiovisuels et/ou cinématographiques (reportage, clip, short-comédie, publicité, court-métrage) via des logiciels professionnels adaptés et produire des émissions de radio et des livres-audio, du pitch à la diffusion. 

En bref : apprendre tous les métiers liés au travail du son et de la musique. 

 

Une expérience immersive 

L’une des caractéristiques les plus intéressantes du Bachelor Son et Musique de l’ESIS est l’expérience – très immersive qu’il offre aux étudiants. Loin des salles de classe classiques et des longues heures de cours théoriques, tout l’enseignement de ce cursus repose sur la pratique : il s’agit de “learning by doing” (littéralement, apprendre en faisant).Dès le premier trimestre, ils sont plongés dans un environnement professionnel, avec un accès complet à des studios d’enregistrement et à des équipements de pointe. Cette immersion leur permet d’acquérir rapidement des compétences pratiques et de travailler sur des projets concrets. 

Festival de musique, captation en direct sur des projets de courts-métrages, cours de bruitage, enregistrement live de chanteurs et de musiciens… Tout est fait pour former les étudiants aux exigences de ces métiers.En plus d’être formés par des professionnels en activité du son et de la musique, les étudiants de l’ESIS bénéficient d’un programme qui allie des périodes de cours et des périodes de stage. Un rythme unique pour se former directement aux côtés de leurs futurs collègues. 

 

Visuel - bachelor son et musique

 

La pratique : obligatoire dans les métiers du Son et de la Musique 

Dans les métiers du son et de la musique, la pratique est indispensable. Les employeurs recherchent des professionnels capables de produire des résultats concrets, et le Bachelor Son et Musique de l’ESIS est conçu pour répondre à cette exigence. Tout au long de la formation, les étudiants travaillent sur des projets concrets à la difficulté croissante, sous la supervision d’enseignants expérimentés. C’est grâce à ces projets que les étudiants acquièrent compétences et expériences : c’est bon pour leur développement personnel mais également pour celui de leur CV. Chacun des projets réalisés apporte un crédit supplémentaire au parcours des étudiants. 

Ce type d’apprentissage est très formateur pour intégrer les métiers du son et de la musique. En effet, ce sont des domaines en constante évolution, toujours à la recherche de nouveaux talents. Il faut pratiquer encore et encore pour prendre l’habitude de se tenir au courant des dernières innovations techniques et, surtout, apprendre à manipuler ce nouveau matériel au plus tôt.Cela permet aux étudiants de l’ESIS de se maintenirau mieux des perspectives d’embauches.  

 

Focus sur le programme 

Le Bachelor Son et Musique de l’ESIS est divisé en trois années, chacune avec un objectif spécifique. Les étudiants apprennent les bases de l’audio et de la musique, ainsi que les compétences pratiques nécessaires pour travailler en studio. Année 2, c’est le moment des choix. Deux options s’offrent aux étudiants : Son / Ciné / Télé / Radio ou Musique / DJ / Studio Live. À chacun sa spécialité, à chacun son domaine d’appétence, mais pour tous la même discipline. Il s’agit avant tout d’approfondir ses connaissances et d’affiner son orientation professionnelle. 

La 3e année, la plus importante, est celle des plus gros projets. Les acquis sont mis en œuvre au travers d’exercices et de projets d’exigence professionnelle. Les projets sont donc, par essence, plus avancés. Au programme : enregistrement live d’artistes lors de festival, production musicale, sound design de production cinématographique en partenariat avec les filières audiovisuelles de l’école. Apprendre comme un professionnel, c’est aussi savoir dès le départ comment travailler avec des collègues d’une autre branche technique. 

 

Visuel - bachelor son et musique

 
Poursuites d’études et débouchés 

Après l’obtention de leur diplôme, les étudiants du Bachelor Son et Musique de l’ESIS ont plusieurs options. Ils peuvent poursuivre leurs études en Mastère Réalisation et Production Sonore, ou bien se lancer directement dans une carrière dans l’industrie de l’audio. Les débouchés pour les diplômés du Bachelor Son et Musique sont nombreux et variés, allant de la production musicale à la post-production pour les films, en passant par le sound design pour les jeux vidéo et les publicités. En voici une liste nonexhaustive : 

  • Ingénieur du son 

  • Assistant studio 

  • Opérateur de mastering 

  • Chef opérateur du son 

  • 1er assistant du son ou perchman 

  • 2nd assistant du son 

  • Chef opérateur du son auditorium 

  • Monteur son 

  • Mixeur 

  • Opérateur de cabine ou recorder 

  • Bruiteur 

  • Sonorisateur 

  • Créateur son 

  • Régisseur son 

  • Ingénieur du son retour 

  • Ingénieur de son façade 

  • Opérateur de prise de son 

Pour en apprendre plus sur le Bachelor Son et Musique, rendez-vous directement sur notre site web : www.esis-paris.fr 

La production sonore au service de la narration : focus sur le Mastère Son

Publiée le 18 avril 2023
La production sonore au service de la narration : focus sur le Mastère Son

La production sonore est un élément clef dans la narration de projets audiovisuels. Les étudiants formés au Mastère Réalisation et Production Sonore de l’ESIS sont spécialisés dans cet aspect de la production. Ils sont formés à collaborer avec d’autres professionnels de l’audiovisuel pour créer des projets innovants. 

 

 

 

 

 

 

La production sonore, élément clef de la narration

La production sonore est un élément clef dans la création de projets audiovisuels. Elle permet de créer des ambiances, des effets sonores et même de composer des musiques uniques qui participent à la narration de l’histoire et à la création d’une émotion qui sera transmise au public.  

Les futurs professionnels, formés grâce au Mastère Réalisation et Production Sonore de l’ESIS, sont préparés à développer des compétences spécifiques. Ces dernières les rendent à même d’utiliser le son de manière efficace dans la plupart des projets audiovisuels. Ce programme de formation permet aux étudiants de se spécialiser dans la production sonore et d’apprendre à travailler en collaboration avec d’autres professionnels de l’industrie multi médiatique. 

 

Publicité, documentaire, et film d’animation 

La production sonore est utilisée dans de nombreuses industries. On retrouve notamment la publicité, les documentaires et les films d’animation. Dans la publicité, le son est utilisé pour créer des ambiances et véhiculer des émotions qui incitent le public à acheter un produit ou un service. Dans les documentaires, le son est plutôt utilisé pour donner vie aux images ainsi que pour transmettre, cette fois-ci, des informations au public. Dans les films d’animation, le son est utilisé pour créer des univers sonores qui participent à l’immersion du public dans l’histoire. 
   
Les professionnels formés à la réalisation et à la production sonore sont capables de travailler dans ces différents contextes et de créer des productions sonores qui participent à la narration. Ils sont formés à la prise de son, à la création d’effets sonores et de musiques, ainsi qu’à la post-production sonore. 

 

Compétences acquises après un Mastère dans le Son 

A la fin de ce Mastère, les étudiants possèdent une solide compréhension de la théorie de la narration. Ils sont en mesure d’appliquer cette connaissance pour créer une ambiance sonore qui soutient la narration du projet. Ils savent comment utiliser la musique, les effets sonores, les dialogues mais aussi les silences pour créer une expérience sonore immersive qui permet au public de se plonger dans l’histoire. 

De plus, les futurs professionnels formés par l’ESIS sont capables de concevoir et de produire des éléments sonores de haute qualité, tels que des enregistrements de terrain, des voix off et des bandes sonores originales. Ils sont aussi formés à l’utilisation de logiciels professionnels comme Pro Tools, pour éditer et mixer des sons avec une qualité optimale. Ces logiciels sont étudiés en cours mais également directement en entreprise. En effet, ce Mastère est un cursus en alternance. De ce fait, les étudiants sont immédiatement plongés dans un environnement professionnel, ce qui permet une meilleure insertion dans le monde du travail. 

 

Visuel - production sonore mastère ESIS

Collaboration interdisciplinaire 

Également très importante dans la production sonore, la collaboration avec d’autres professionnels de l’audiovisuelLes réalisateurs, les scénaristes, les monteurs et les animateurs, sont de précieux collègues pour créer des projets multimédias innovants. La clef d’une production sonore réussie, c’est la communication. Elle permet de produire un projet cohérent et de haute qualité. 

La collaboration interdisciplinaire est bénéfique pour la production sonore, car elle permet aux professionnels du Son de mieux comprendre l’histoire et les intentions de la production. En travaillant en étroite collaboration avec les autres membres de l’équipe, le producteur Son peut créer l’ambiance la plus proche possible du projet du réalisateur. Cette collaboration entre métiers de l’image est hautement encouragée à l’ESIS. Les étudiants travaillent sur de nombreux projets communs tout au long de leur formation, les filières sont constamment mélangées et leurs rendus sans cesse mis en parallèle. 

 

Des projets multimédias qui intègrent la production sonore 

De nombreux projets multimédias innovants sont créés chaque année par des professionnels du son. Parmi les exemples les plus remarquables (et bien souvent les plus appréciés du grand public) on retrouve les jeux vidéo, les installations sonores, les expériences de réalité virtuelle et les spectacles en direct.  

Les jeux vidéo sont un exemple parfait de la façon dont la production sonore peut améliorer l’expérience utilisateur. Les professionnels du son peuvent créer des bandes sonores immersives qui permettent aux joueurs de se plonger pleinement dans l’histoire, tout en créant des effets sonores réalistes pour améliorer l’immersion. 

Les installations sonores sont également un exemple d’utilisation innovante de la production sonore. Grâce à elle, il est possible de concevoir des installations sonores pour des espaces publics comme les musées, les centres commerciaux ou les parcs, dans le but de créer des expériences sonores immersives et interactives. 

Les expériences de réalité virtuelle offrent également de nombreuses possibilités pour la production sonore. Les professionnels du son peuvent créer des environnements sonores réalistes pour compléter l’expérience visuelle de la réalité virtuelle, créant ainsi une immersive pleine, à 360 degrés.   

 

Visuel - production sonore mastère ESIS

 

Un atout pour les professionnels 

La production sonore est donc un élément crucial de la narration dans les projets multi médias ou cinématographiques. Les professionnels formés au Mastère Réalisation et Production Sonore de l’ESIS sont spécialisés dans cet aspect de la production et acquièrent les compétences nécessaires pour travailler dans différents contextes de l’industrie audiovisuelle. Ils sont également formés à collaborer avec d’autres professionnels pour créer des projets multimédias innovants. 

Un Mastère Son, c’est une formation idéale pour ceux qui souhaitent se spécialiser dans la production sonore et la narration. Les compétences acquises lors de cette formation sont des compétences très recherchées dans le monde professionnel car elles permettent de travailler sur des projets ambitieux mais aussi très variés. 

La production sonore, c’est un domaine en constante évolution. Avec l’arrivée de nouvelles technologies et de nouveaux formats audiovisuels, les professionnels du Son sont constamment amenés à se former, se reformer et à s’adapter pour rester à la pointe de leur domaine et continuer à proposer des productions sonores innovantes et captivantes. 

 

Les débouchés 

Après un Mastère Réalisation et Production Sonore délivré par l’ESIS, les étudiants peuvent prétendre à des postes dans de multiples secteurs : 

  • Chaînes de télévision 

  • Plateformes VOD 

  • Sociétés de production 

  • Sociétés de post-production 

  • Salles de spectacles, de concerts 

  • Studios d’enregistrements 

  • Studios de mixages 

  • Maison de disque 

  • Éditeur 

Métro et tournages : focus sur ces plateaux souterrains

Publiée le 11 avril 2023
Métro et tournages : focus sur ces plateaux souterrains

C’est une histoire d’amour qui dure depuis presque 100 ans maintenant : les métros parisiens et le cinéma. Tous les ans, de nombreux films sont tournés dans les stations de la RATP. Ces plateaux de tournage sur roues sont pris d’assaut, en particulier sur la ligne de métro 11. Une ligne que les étudiants se rendant à l’ESIS peuvent être amenés à prendre pour se rendre en cours, sur le campus de la Grange-aux-Belles.

 

 

 

 

 

 

L’ESIS : vivre le cinéma au quotidien 

Vivre pour le cinéma, c’est une passion qui ne s’improvise pas. Au petitdéjeuner : un film. Au déjeuner : une série. Au dîner : une trilogie. À l’ESIS, on va encore plus loin. En plus d’avoir un campus au bord du canal Saint-Martin, un lieu de tournage culte de grands films français comme Lefabuleux destin d’Amélie Poulin, l’ESIS n’est qu’à quelques minutes à pied de la ligne 11 du métro parisien. Rien d’incroyable ? Et pourtant, cette ligne sert tous les ans de plateau de tournage plus vrai que nature pour de nombreux films. 

Ces tournages se font en partenariat direct avec la RATP, plus cinéphile qu’il n’y parait. En 2019 d’ailleurs, elle collabore à la création d’un livre qui retrace son histoire avec le cinéma. Rédigé par Fabienne Waks, “Les lignes du 7e art” est un recueil de photographies, d’archives et de témoignages qui retrace le parcours sinueux des lignes franciliennes et de l’art de la caméra. Les métros, les bus, les tramways, les RER et même le funiculaire : vous les avez déjà tous vus quelque part sur vos écrans.  

 

Des films emblématiques…et souterrains 

Lieux cultes de la vie parisienne, il n’est pas étonnant de retrouver les différentes lignes de transport en commun sur le grand écran. Les lignes de métro, ce sont les actrices qui vieillissent le mieux: sous l’œil avisé de la RATP, elles n’ont pas pris une ride depuis 1930.Le métro, un lieu de caractère bien frenchy qui accueille aussi bien des films noirs que de la comédie, des films d’actions et des drames sentimentaux. Rien que durant ces dernières décennies, la RATP peut se vanter d’avoir participé à de véritables pépites cinématographiques comme : 

  • Le Brio (2017) : Le film d’Yvan Attal compte l’une de ses scènes fétiches sur la ligne 3bis de la station Portes des Lilas. Grâce à ce film d’ailleurs, Camélia Jordana remporte le César du meilleur espoir féminin.  

  • Les femmes de l’Ombre (2008) : La station Porte des Lilas a droit à un nouveau nom, Concorde, et à un voyage dans le temps dans ce film de Jean-Paul Salomé. Il se passe dans les années 1940, en pleine guerre d’espionnage durant la Résistance Française. 

  • Le fabuleux destin d’Amélie Poulain(2001) : Et oui, même l’un des plus grands succès de Jean-Pierre Jeunet, prend place dans le métro. Cette fois-ci, la station est renommée Abbesses et voit passer Audrey Tautou en quête d’un fameux photomaton. 

  • Subway (1985) : Comme bien souvent avec Luc Besson, tout est dans le titre. Le film ne se passe presque qu’exclusivement au cœur des différentes lignes de métro. Roulades, glissades, descente de police, course poursuite et un bœuf musical pas si improvisé que ça. 

Des films, mais pas que, les métros sont également le théâtre de plusieurs séries à succès : “À bout Portant”, “Le Bureau des Légendes”, “Engrenages”, “Sense 8”, “Julie et Julia”, “The Patriot”…   

 

Modalités de tournage 

À peine freinés par la crise sanitaire, les tournages se multiplient(une 60aine de production en 2018 et près de 28 films en 2020 selon le groupe RATP): un rythme néanmoins savamment surveillé. Pas question de perturbé le trafic plus que nécessaire, même au nom de l’art. Mais alors, tourner dans les locaux de la RATP, comment ça marche ? 

Premièrement, il faut bien veiller à transmettre sa demande à la direction de communication du groupe 3 à 4 semaines avant le début du tournage, 8 s’il s’agit d’une date pendant la période estivale de juillet et août. Tournage en service voyageur, tournage à la station cinéma RATP, en bus (modernes ou d’époque), sur les rames historiques Sprague-Thomson, sur les lignes aériennes 2, 5 et 6 : à chaque plateau ses horaires. Les tournages dépendent également tous de la faisabilité technique, à savoir, le matériel, les disponibilités du personnel et l’accord de la direction de communication. Un contrat complet donc, mais pas peu cher : certains tournages en station peuvent monter jusqu’à 20 000 (c’est d’ailleurs le tarif d’une journée pleine à la station cinéma La Porte des Lilas). Mieux vaut ne pas manquer sa scène ! 

La station cinéma : la Porte des Lilas 

Parmi les lieux de tournage souterrains les plus connus, on retrouve la “station cinéma” de la RATP : la Porte des Lilas. Cette station, située sur la ligne 11, est fermée au public depuis 1930 mais pas inanimée pour autant. Chaque année, la station accueille autour de 5 films à elle toute seule. Passée une porte dérobée, des tunnels et des quais somme toute assez ordinaires s’enchaînent. À une exception près. Les panneaux publicitaires. Ceux-ci sont équipés de fonds bleus pour que les différentes équipes de tournage puisse mettre des éléments correspondant à l’univers de leur production. 

En tout, en partant de cette station, les réalisateurs et autres faiseurs de films disposent d’1km de tunnels et 1km de voie de circulation sur lesquels des conducteurs de métro peuvent faire rouler les wagons aux environs de 10km/heure. Équipes comprises, la station peut recevoir jusqu’à 200 personnes. Ce qui fait tout le charme de la Porte des Lilas, c’est qu’elle s’adapte facilement à toutes les époques, permettant ainsi des possibilités de tournage infinies. De même, la RATP s’applique à conserver les décors de chaque époque : depuis les années 1920 à nos jours, bancs en bois, costumes de conducteur et carreaux de mosaïque compris. 

La station de la Porte des Lilas n’est pas la seule dédiée au cinéma : elle a une acolyte, la station désaffectée Haxo, qui débouche sur un culdesac. Paris regorge de lieux de tournage insolites et emblématiques, d’où le choix d’emplacement de l’ESIS. Grâce à ce cadre côtoyé des plus grands cinéastes, les étudiants baignent dès les premières années de formation dans leur futur milieu professionnel. 

Quelles sont les perspectives d’emploi après un Bachelor à l’ESIS ?

Publiée le 4 avril 2023
Quelles sont les perspectives d’emploi après un Bachelor à l’ESIS ?

Image, montage, production, son, musique, cinéma, fiction, spectacle vivant, télévision, … : les possibilités d’emploi sont innombrables après un Bachelor à l’ESIS. Focus sur une partie de ces métiers de passion.

 

 

 

 

 

 

2023 : comment se porte le marché de l’emploi ? 

S’embarquer dans des études de cinéma, de VFX, de son ou de musique, cest s’orienter vers un futur métier captivant et passionnant : c’est se destiner à une vocation. Mais comment se porte le marché de l’emploi dans ces secteurs ?

Si le cinéma a connu un coup dur avec la crise sanitaire, il finalise doucement sa reconstruction et affiche des chiffres encourageants, selon Jobteaser et le CNC (le Centre National du Cinéma) on compterait : 95.5 millions d’entrées en 2021 en France, 25 millions d’euros de budget pour le cinéma en Île-de-France, 40.6% de films français à l’affiche (au coude à coude avec les films américains : 43%), et 42% de femmes artistes et techniciennes employées pour la production de films de fiction (c’est presque paritaire, un vrai record).

De son côté, l’industrie musicale poursuit sa mutation vers le numérique, attirant un public toujours plus varié et favorisant les producteur indépendants grâce aux plateformes de streaming comme Deezer, Spotify, SoundCloud ou Apple Music.  

Après un Bachelor Cinéma et VFX 

Le cinéma et l’audiovisuel s’illustrent parmi les vecteurs les plus populaires et fructifiants de l’Hexagone. L’équipent évolue en même temps que la demande et les sommes investies dans cette industrie se multiplient, créant chaque jour de nouvelles opportunités pour les jeunes diplômés voulant se lancer dans la vie professionnelle au sein de l’audiovisuel. Le cursus Cinéma et VFX de l’ESIS prépare efficacement à rejoindre cet univers en formant les étudiants aux divers débouchés possibles après ce Bachelor : écriture, mise en scène, image, production, post-production et effets spéciaux.

De larges panels d’activités donc, mais quels sont les métiers qui recrutent le plus en 2023 ?

  • Scénariste : très créatif et bon communicant, c’est lui qui guide les équipes dans le tournage. Pour concrétiser le scénario qu’il a au préalable écrit.
  • Réalisateur : organisé et véritable manager dans l’âme, il est celui qui donne vit au scénario et travaille de très près avec le scénariste.
  • Machiniste : il repère les lieux de tournage, installe, prépare, teste et démonte tout ce qui se rapproche de la prise de vue et des décors (NB : c’est aussi le préposé au clap)
  • Technicien des effets spéciaux : en collaboration avec les équipes techniques, il est celui qui met en place les éléments scéniques nécessaires pour, plus tard, y intégrer les effets spéciaux en post-production.
  • Directeur de post-production : post-produire un film, ok. Mais avec quelqu’un pour diriger les opérations, c’est quand même mieux. Il organise, planifie, monte, et étalonne. 

Visuel - employabilité après un bachelor

Après un Bachelor Son et Musique 

Les mutations audio-numériques modifient continuellement les métiers du son et de la musique. Mais bonne nouvelle : elles renouvellent également sans cesse les méthodes de travail ce qui a pour conséquence de rendre le secteur toujours plus amateur de nouveaux talents. Une porte d’entrée royale pour les jeunes diplômés de l’ESIS. Avec les3 ans de formation, ils sont prêts à concilier une discipline classique et de toutes nouvelles ressources.

Après le cursus, les diplômés du Bachelor Son et Musique ont accès à un grand nombre de métiers dans la musique, le spectacle vivant, ou le cinéma comme :

  • Ingénieur du son : c’est le responsable de la production audio d’un enregistrement musical.
  • Assistant studio : il prépare les sessions de travail des enregistrements et des mixages.
  • Opérateur de mastering : il homogénéise, hiérarchise et les optimise les mixes en fonction des exigences techniques.
  • Chef opérateur du son : c’est l’interlocuteur privilégié du réalisateur, rien de plus normal pour celui qui met en scène le son d’un scénario.
  • Perchman : il s’occupe, entre autres, du placement des microphones aux distances adéquates. C’est à dire en dehors du cadre de l’image et au plus près des comédiens.

En plus de ces métiers, les diplômés ESIS peuvent trouver leur place dans une carrière de : 2nd Assistant du son, Chef opérateur du son auditorium, Monteur son, Mixeur, Opérateur de cabine ou Recorder, Bruiteur, Sonorisateur, Créateur son, Régisseur son, Ingénieur du son retour, Ingénieur du son façade, ou même Opérateur prise de son. 

Optimiser son employabilité 

Pour s’assurer de pouvoir évoluer dans les métiers du cinéma, de la VFX, du son ou de la musique, il est important de savoir rester fluide. C’est très bien d’être calé dans un domaine, mais attention de ne pas vous enfermer dans un seul et unique métier. Plus vous accumulez d’expériences dans des domaines variés, plus vous vous ferez des contacts, plus vous montrerez votre passion pour ces différents corps de métiers.

La multiplicité garantit une employabilité optimale : et c’est bien cette diversité qui est mise sur le devant de la scène à l’ESIS. 

Passion cinéma : coup d’œil du côté du ciné-club de l’ESIS

Publiée le 27 mars 2023
Passion cinéma : coup d’œil du côté du ciné-club de l’ESIS

Les ciné-clubs ont un long passé historique derrière eux. Depuis leur création, ils impulsent une vision du cinéma très différente de celle promue par l’industrie. A l’ESIS, le ciné-club est une occasion unique pour les étudiants de découvrir et redécouvrir des films rares, peu connus ou cultissimes. C’est également un moment d’échange qui ouvre le débat entre passionnés et professionnels. 

 

 

 

 

 

 

Historiquement parlant 

L’histoire des ciné-clubs remonte aux années 1910-1920, lorsque des groupes de passionnés de cinéma décident de se réunir puis projeter des films en petit comité et en discuter. Ces cinéphiles cherchaient à promouvoir un cinéma différent de celui produit par l’industrie hollywoodienne. Ils mettaient l’accent sur des films d’auteur, des documentaires et des films expérimentaux. Dans les années 1930, les ciné-clubs connaissent un de leur essor les plus important. De nombreuses organisations et associations sont créées à travers le monde. 

Cependant, la popularité des ciné-club décline progressivement entre 1950-1960 avec l’avènement de la télévision et des multiplexes. Il y a 20 ans, dans les années 2000, cette côte remonte à nouveau. Cette notoriété s’explique en partie par la montée en puissance des festivals de cinéma et l’essor d’internet. 

 

Les objectifs d’un ciné-club 

Les ciné-clubs ont plusieurs objectifs, tels que la création d’une communauté de passionnés de cinéma et l’encouragement du débat et de l’échange autour des films. Les ciné-clubs sont souvent gérés par des bénévoles passionnés de cinéma qui cherchent à partager leur amour du septième art avec les autres. Ils proposent généralement des projections de films rares ou peu connus, suivies de débats animés par des professionnels du cinéma ou des membres du club. 

Les ciné-clubs offrent de nombreux avantages pour les étudiants en cinéma. Ils permettent de découvrir des films qu’ils n’auraient peut-être jamais eu la chance de voir autrement, en élargissant leur horizon cinématographique. Les débats qui suivent la projection permettent également aux étudiants d’échanger avec des professionnels du cinéma et de poser des questions sur leur travail. C’est aussi l’occasion de retrouver tous les mois d’autres étudiants passionnés de cinéma et de se créer un réseau de futurs contacts dans l’industrie. 

Visuel - passion cinéma : le ciné-club de l'ESIS

 
Le ciné-club de l’ESIS 

Comme toute école de formation au cinéma, l’ESIS dispose elle-aussi de son propre ciné-club. Il est animé par Matt Dray, intervenant pour la matière culture audiovisuelle et cinématographique au sein de l’établissement. Il ne fait pas qu’animer ce club : c’est lui qui en a lancé les prémices, nostalgique de ses propres années d’études supérieures. En effet, c’est en partie le ciné-club de ses jeunes années qui lui a donné le goût du débat et du partage autour du septième art. 

Tous les mois donc, le ciné-club de l’ESIS prend place sur le grand plateau, transformé pour l’occasion en immense salle de projection. Les étudiants de plusieurs établissements partenaires (ISA et ISFJ notamment) sont invités à rejoindre le campus de la Grange-aux-Belles, QG du ciné-club. 

 

Les derniers films vus sur le grand plateau 

Une question demeure cependant : qu’est-ce qu’on voit exactement au ciné-club de l’ESIS ? Et à cette question subsiste une réponse très simple : un peu de tout. Dans le respect des racines historiques des ciné-clubs, les étudiants visionnent bien entendu des films d’auteurs, mais pas que ! Parmi les visionnages les plus récents du ciné-club, on retrouve :  

Cold War Pendant la guerre froide, entre la Pologne stalinienne et le Paris de 1950, un musicien épris de liberté et une jeune chanteuse passionnée vivent un amour impossible. 

Land and Freedom La guerre d’Espagne vue à travers l’histoire d’un vieil homme que sa petite-fille enterre à Liverpool. 

Peur sur la ville – Appels téléphoniques anonymes et meurtres de femmes en série. Le commissaire Letellier enquête, et grâce à un œil de verre brisé, il retrouve la piste de l’assassin… 

La dame de Shangaï – Michael, un marin irlandais, sauve Elsa et en tombe amoureux. Il se fait embaucher sur le yatch du mari l’Elsa, dont l’associer veut disparaître. Ce dernier propose à Michael 5000 dollars pour signer un papier dans lequel il confesse l’avoir tué. 

Mad Max – (de 1982) Dans une Australie méconnaissable, une guerre sans merci oppose motards hors-la-loi et policiers Interceptor. Le monde est plongé en pleine décadence : les bons, les méchants, le manichéisme, tout cela disparait… 

L’année de tous les dangers – Le journaliste Guy Hamilton débarque en Indonésie pour couvrir un sujet sensible quant à la politique du pays. Sur place, son enquête se déroule à merveille et il trouve l’amour auprès de Jill Bryant, une anglaise travaillant à l’ambassade de son pays. Un jour, Jill reçoit un message codé annonçant un Coup d’Etat imminent. 

Visuel - passion cinéma : le ciné-club de l'ESIS

Comment créer un ciné-club dans son école ?

Pour créer son propre ciné-club dans une école, il est important de suivre quelques étapes clefs. Tout d’abord : trouver des étudiants passionnés de cinéma pour constituer le noyau du groupe (en théorie, c’est l’étape la plus simple dans une école de cinéma). Ensuite, il faut trouver un espace pour projeter les films et organiser les débats. Certaines écoles de cinéma ont des salles de projection dédiées, mais il est également possible de trouver un espace extérieur, tel qu’un cinéma local ou un café culturel, qui pourrait accueillir le ciné-club. Il est également important de déterminer le type de films qui sera projeté et de planifier des événements réguliers pour maintenir l’intérêt des membres du club. A l’ESIS, les projections ont lieu tous les mois. Enfin, il est important de promouvoir le ciné-club auprès des autres étudiants de l’école et de la communauté locale, en utilisant les réseaux sociaux et les affiches pour faire connaître ces événements. 

Les ciné-clubs sont une composante importante de la communauté du cinéma. Ils offrent aux étudiants en cinéma une occasion unique de découvrir des films rares ou peu connus, d’échanger avec des professionnels du cinéma et d’acquérir une culture cinématographique plus large et plus approfondie. Pour les étudiants en cinéma, la création d’un ciné-club dans leur école peut être une expérience enrichissante, qui leur permettra de développer leur passion pour le cinéma et de se créer un réseau solide de contacts dans l’industrie. 

Soumettre son idée de film à une société de production : 10 conseils pour réussir

Publiée le 21 mars 2023
Soumettre son idée de film à une société de production : 10 conseils pour réussir

Avoir un projet de film, c’est bien. Savoir le vendre à une société de production, c’est encore mieux. Parce qu’avoir une super idée de film ne suffit pas toujours, l’ESIS liste10 conseils pour présenter son synopsis et concrétiser sa production sur grand écran.

 

 

 

 

 

C’est parfois la tâche la plus difficile dans la réalisation d’un film : vendre son projet à une maison de production, ou négocier un budget pour le tourner. L’ESIS souligne les dix points les plus importants pour préparer son entretien de manière efficace. L’objectif ? Assurer les arrières des étudiants, les futurs cinéastes à l’aide de ce petit mémo. 
 
10 conseils donc, pour vendre sa propre idée ou synopsis à une société de production : présenter son idée avec confiance et accrocher l’attention du public cible. 
 

1. Être clair et concis 

Lors de la présentation de son idée à une société de production, il est essentiel d’être clair et concis. C’est à dire qu’il faut être capable de résumer son idée en quelques phrases claires et percutantes. Il faut éviter les descriptions longues et détaillées qui peuvent noyer l’idée principale. Il est nécessaire de se concentrer sur l’essentiel, en expliquant clairement le déroulé de l’histoire et les personnages principaux. 


2. Créer un pitch accrocheur

Pour accrocher l’attention du public ciblé, il faudra obligatoirement se munir d’un pitch accrocheur. Idéalement, il faut pouvoir trouver un angle original ou une accroche percutante pour attirer l’attention de la société de production. Ces phrases décriront l’essence de l’histoire ou donneront un aperçu de l’émotion principale que le film procurera aux spectateurs.

 

3. Présenter les personnages principaux

Les personnages sont les éléments les plus importants d’une histoire. Il est donc crucial de les présenterDe façon très brève encore une fois. Les points qui doivent ressortir sont les suivants : leur histoire, leurs motivations, une idée générale de leur caractère. Attention cependant à ne pas se perdre dans les détails. Le public à qui l’on essaie de vendre le film, ou la maison de production, doit avoir juste assez d’informations pour dresser un portrait clair de qui sont ces personnages principaux et pourquoi ils sont importants dans l’histoire.

4. Décrire l’intrigue principale

Une bonne histoire doit avoir une intrigue principale solide. Il est donc essentiel de raconter brièvement l’histoire principale et la manière dont elle se déroule. L’objectif ici est donc d’expliquer les événements clefs de l’intrigue et la manière dont ils sont liés entre eux. Il est également possible d’utiliser des exemples de scènes pour donner une meilleure idée de l’histoire.

Visuel - conseils synopsis

 

5. Évoquer le ton et l’ambiance

Le ton et l’ambiance sont deux éléments essentiels d’une histoire. Il faut donc les expliquer dès le pitch, ici aussi le mot d’ordre reste la promptitude : l’auditoire ne doit pas s’ennuyer ou perdre le fil de ce qui se dit. Quelle est l’ambiance générale du film ? Quel est son ton ? Est-ce une comédie, un drame, un film d’action ou un film romantique ? Est-ce un film sombre et intense ou léger et amusant ? Comment le public doit se sentir en regardant ce film ?

 

6. Fournir des références visuelles 

Les références visuelles – c’est à dire des images, des vidéos ou des dessins – peuvent aider à illustrer le synopsis. Elles peuvent également aider à visualiser l’histoire et à comprendre l’ambiance et le style visuel du film. Il ne faut pas hésiter à inclure des références visuelles dont l’histoire est inspirée ou qui reflètent le style du film. 

 

7. Mettre son expertise en avant

Dans certain cas, le film présenté sera accompagné d’une expertise ou d’une expérience pertinente pour l’histoire. Il ne faut surtout pas hésiter à la mettre en avant. Cela peut inclure une expérience professionnelle (peut-être acquise lors d’un cursus en alternance), des études particulières (comme un Bachelor ou un Mastère) ou des recherches, tout simplement. Chaque antécédent qui donne une crédibilité supplémentaire au film mérite d’être énoncé, cela peut aider à renforcer la présentation. 

 

Visuel - conseils synopsis

8. Présenter des exemples concrets 

Donner des exemples concrets de son idée pour aider encore une fois le public cible à la visualiser. Pour cela, il ne faut pas hésiter à donner des exemples de scènes, de dialogues ou de moments clefs pour susciter une meilleure idée de l’histoire. Croquis, illustrations ou storyboards sont les bienvenus et laisseront une image nette à la maison de production. 

 
9. Se préparer à répondre à toutes les questions 

Lors de la présentation de son idée à une société de production, il faut être prêt à répondre à toutes les questions qui pourraient être posées : discussion autour de l’histoire, des personnages, de l’intrigue, de l’ambiance, du ton et de tout autre aspect de votre film. Concrètement, autour de la plupart des points déjà abordés plus tôt. Il faut être prêt à justifier chacun de ses choix et à expliquer pourquoi son idée de film est unique et intéressante. Pourquoi il s’agit de l’idée que la maison de production doit soutenir. 
 

10. Être confiant 

Enfin dernier point : avoir confiance. Après un long travail sur son histoire, il faut être fier de la présenter. Tout au long du pitch, il ne faut pas hésiter à afficher sa passion pour le projet, sa confiance et sa capacité à captiver le public. La confiance en soi est contagieuse et peut aider à convaincre les décideurs de la société de production du potentiel du film. 
 

En conclusion 

Parce qu’on ne peut pas trop les répéter, voici la synthèse de ces 10 conseils : être clair et concis, créer un pitch accrocheur, présenter les personnages principaux et l’intrigue principale, évoquer le ton et l’ambiance, fournir des références visuelles, mettre en avant une expertise, présenter des exemples concrets de son idée, se préparer à répondre aux questions et être confiant. 

Ces techniques sont enseignées aux étudiants de l’ESIS tout au long de leur cursus de formation. Les intervenants de l’école, qui sont également des professionnels en activité, s’assurent que les étudiants soient totalement prêts à vendre leur projet, que ce soit du cinéma, du reportage, ou même de la musique. 

Bachelor Cinéma et VFX : comment l’ESIS encourage-t-elle les projets collaboratifs ?

Publiée le 16 mars 2023
Bachelor Cinéma et VFX : comment l’ESIS encourage-t-elle les projets collaboratifs ?

Le Bachelor Cinéma et VFX de l’ESIS – anciennement Bachelor Audiovisuel, Post-production et VFX – fait peau neuve avec un nouveau nom. Un autre nom, oui, mais toujours des propositions pédagogiques innovantes qui encouragent les projets personnels et professionnels mais également la collaboration entre étudiants.

 

 

 

 

 

Le Bachelor Cinéma et VFX, c’est quoi ?

Avec l’apprentissage par projet, la collaboration entre étudiants fait partie des grands piliers de l’enseignement de l’ESIS. Ce n’est donc pas étonnant que les projets collaboratifs soient encouragés, demandés et re-demandéschaque année dans le cadre du Bachelor Cinéma et VFX. Anciennement appelé Bachelor audiovisuel, post-production et VFX, ce parcoursforme les futurs cinéastes. En plus du tronc commun, qui enseigne les bases de l’audiovisuel, le Bachelor Cinéma et VFX permet de se spécialiser parmi 5 options dès la troisième année : Réalisation, Image, Montage, Post-production & effets spéciaux et Production. Le Bachelor Cinéma et VFX délivre un diplôme européen certifié par l’EABHES (EuropeanBachelor of Fine Arts, major TV & Cinéma).

Cette formation de 3 ans se déroule en initial et laisse du temps aux étudiants pour murir leurs projets scolaires, professionnels mais aussi personnels. Ce cursus est ponctué de stages et de nombreux projets challengeant comme les semaines fanfilm, court-métrage, long-métrage, short-comédie, publicité, etc. Dans chacune de ces semaines, les étudiants sont répartis en groupe et fonctionnent comme une véritable équipe de production cinématographique. 

Les projets collaboratifs 

Ces projets communs (entre années différentes ou cursus différents) ont pour but de créer une synergie, une usine à idées et à créativité. Une manière d’enseigner hautement soutenue par Julien Willemenot, responsable pédagogique du Bachelor Cinéma et VFX :  “L’ESIS adopte une pédagogie orientée projets collaboratifs qui assure la professionnalisation de nos étudiants. Cette démarche permet de faire interagir les filières son, montage, VFX et audiovisuel en réunissant les différents corps du métier de la production audiovisuelle. Ça leur permet également une meilleure insertion professionnelle. 

La collaboration, c’est également la base du cinéma. Aussi bon que soit le réalisateur ou le monteur, à un moment donné il leur faudra bien faire appel à un cadreur, un acteur, un scénariste, un superviseur des effets spéciaux, ou un show runner pourquoi pas. Tous les corps de métier de la production cinématographique travaillent ensemble, au quotidien. La collaboration, c’est inévitable, et ça s’apprend dès sa formation. 

Visuel - bachelor cinéma et vfx

Comment le Bachelor Cinéma et VFX encourage-t-il la créativité et la collaboration ? 

Pour multiplier les projets, l’ESIS met toutes les chances du côté de ses étudiants. A commencer par du matériel de qualitélaissé en libre-service, ou presque, dans le magasin de l’école. Grâce à une plateforme en ligne les étudiants ont accès à toute une gamme de caméras, perches et lumières professionnelles. Ils peuvent les louer le temps d’un tournage, d’un reportage, d’un clip vidéo : les possibilités sont multiples. Pour les accompagner, ils sont encadrés par des intervenants qui ne sont rien d’autre que des professionnels du cinéma et de l’audiovisuel en activité. 

Au cours de ces 3 ans d’apprentissage, des objectifs précis : 

  • Scénariser (et story-boarder) des projets audiovisuels ou cinématographiques.  

  • Caster puis diriger des acteurs. 

  • Organiser un plateau. 

  • Tourner des images (en plateau ou en extérieur) via des caméras professionnelles. 

  • Maîtriser la lumière d’un set de tournage. 

  • Monter des projets audiovisuels ou cinématographiques (via différents logiciels dédiés). 

  • Réaliser des projets audiovisuels ou cinématographiques du pitch au PAD (reportage, clip, short-comédie, publicité, court-métrage) dans le respect des contraintes juridiques, financières, techniques, artistiques, juridiques et sanitaires. 

  • Réaliser tous types d’effets spéciaux pour le cinéma via des logiciels professionnels dédiés et adaptés. 

Visuel - bachelor cinéma et vfx

Les résultats des projets collaboratifs : fanfilms et short com 

Que ce soit en première, deuxième ou troisième année, les étudiants réalisent de multiples projets collaboratifs. Les deux plus grosses productions étant les fanfilms et les shorts-comédies. Focus sur ces moments clefs de l’année.  

Les fanfilms, définition. Il s’agit d’un film réalisé par un fan d’une série-télévisée, d’un film, d’un jeu vidéo, d’un livre ou d’une bande-dessinée à partir du monde imaginé dans lœuvre qu’il apprécie. A l’ESIS, c’est l’occasion rêvée de reprendre les codes et l’esthétique de licences cinématographiques cultes. Les étudiants soumettent leur scénario à l’intervenant qui supervise ce cours. Ensemble, ils les lisent et votent pour les quatre projets qui les inspire le plus. A partir de là, les groupes se forment et les castings peuvent commencer, vite suivis par les repérages et la location des lieux de tournages, les tournages et les montages. Parmi les dernières réalisations de fanfilm, on retrouve : The Mask, James Bond, Tintin, The Crow, StrangerThings, et même le très célèbre membre des X-Men, Wolverine.  

Au programme également, les short-comédies. Tout aussi challengeantes que les fanfilms, elles sont l’occasion de construire un concept unique. Un concept qui prend racine autour d’une blague, qui doit être suffisamment bien écrite pour durer un nombre donné d’épisodes. Exemple concret de short-comédies ultra connues et hautement médiatisées: un gars et une fille, scènes de ménage, caméra café…  Ce type de projet permet de développer une écriture scénaristique complètement différente que celle utilisée dans des courts ou des longs métrages. Cela en fait donc un parfait exercice. 

Et ensuite ? 

Une fois tournés et montés, ces projets collaboratifs peuvent être présentés à des concours d’école, ou des festivals amateurs. Ils peuvent également être ajoutés au portefolio de l’étudiant, ce qui facilitera grandement son insertion professionnelle. Rien de mieux qu’un projet abouti pour gagner des points en entretien d’embauche. En plus de montrer son expérience, l’étudiant montre également un pan de son univers cinématographique et sa capacité à mener un projet à bien, de sa conceptualisation à son rendu final. 

Et, pour booster encore plus le CV de ses étudiants, l’ESIS propose également trois Mastères en alternance. Le Mastère Production et Réalisation Sonore, le Mastère Scénario Réalisation et le Mastère Communication et Production Cinématographique. Si toutefois l’étudiant s’arrête à un bac +3, donc au Bachelor Cinéma et VFX, il peut déjà prétendre à une large palette des métiers du cinéma et de l’audiovisuel passant de l’écriture à la préparation, de la production à la post- production, de la promotion à la diffusion et à la distribution. Les débouchés possibles : 

  • ÉTALONNEUR (artiste et technicien de la couleur) 

  • CHEF MONTEUR (assure la mise en ordre des séquences) 

  • MATTE PAINTER (conçoit des décors en retouchant des images existantes et en les intégrant les unes aux autres) 

  • DIGITAL COMPOSITOR (finalise tous les effets visuels par assemblage des différents éléments 3D et fonds verts)

  • 3DFX (crée tous les effets de simulation 3D)

  • SUPERVISEUR VFX (responsable de la conception des effets visuels)

Visuel - bachelor cinéma et vfx

Quelles études pour devenir réalisateur ?

Publiée le 13 mars 2023
Quelles études pour devenir réalisateur ?

Le réalisateur est un peu le chef d’orchestre de la production d’une œuvre audiovisuelle. Il intervient à toutes les étapes de la vie d’un projet : en amont, lors des réunions de réflexion, pendant le tournage et en direct auprès des équipes en plateau, puis en post-production en contrôlant les activités des techniciens. Quelles études faut-il suivre pour parvenir à prendre en charge toutes ces missions professionnelles ? 

 

 

 

 

 

Pourquoi faire des études pour devenir réalisateur ? 

Le réalisateur est un expert de l’audiovisuel qui présente un profil double. C’est un grand créatif, capable d’imaginer des œuvres uniques ou d’adapter les plus grands succès à l’écran. Il bénéficie à ce titre d’une excellente culture audiovisuelle et artistique, dans laquelle il puise chaque jour pour innover et faire des propositions hors du commun. 

Mais, pour devenir réalisateur, il faut également développer un panel de compétences techniques, qui s’acquièrent à l’occasion d’études spécialisées. Un bon parcours permet en effet au réalisateur d’apprendre les techniques de la réalisation de tous les supports de l’audiovisuel : films, documentaires, publicités ou encore clips vidéo. 

De bonnes études sont également l’occasion d’apprendre la méthode de l’écriture scénaristique et de la production de story-bards. Elles sont par ailleurs incontournables pour se constituer un solide socle de compétences juridiques et administratives, qui sont essentielles au réalisateur en vue de trouver des financements pour son projet, de s’assurer de sa viabilité légale, de recruter du personnel et même de s’associer avec des producteurs. 

 

Devenir réalisateur : privilégier un parcours d’études complètes 

Les réalisateurs qui réussissent professionnellement ont majoritairement suivi un parcours universitaire complet. Leurs études sont par conséquent organisées en cinq années post-bac et sont suivies au sein d’un établissement d’enseignement supérieur spécialisé dans l’audiovisuel. 

Ces parcours, très recherchés des recruteurs du secteur, se composent en règle générale de deux cycles d’apprentissages : un Bachelor et un Mastère. Le Bachelor audiovisuel option réalisation constitue une base de connaissances fondamentales permettant ensuite d’accéder au Mastère, qui consiste en deux années de spécialisation universitaire. 

Pour devenir réalisateur, il faut suivre ce type de parcours complet (parfois appelés PGE) selon la modalité de l’alternance. Rappelons à ce titre que le secteur de l’audiovisuel est une discipline à dominante pratique. Un réalisateur, pour devenir un bon professionnel, doit avoir une connaissance globale de l’audiovisuel : il lui faut connaître les contraintes et le fonctionnement de chaque corps de métier qui contribue à la création d’une œuvre. Pour parvenir à cette maîtrise pointue de son domaine, le réalisateur en devenir doit cumuler de l’expérience professionnelle. L’alternance se trouve alors être une solution idéale pour suivre des études supérieures techniques tout en mettant rapidement un pied dans le milieu professionnel. 

L’ESIS propose à ce titre des formations complètes spécialisées dans une branche de l’audiovisuel. Par exemple, au sein de l’établissement, on peut suivre un Bachelor puis un Mastère spécialisé en Scénario et Réalisation afin de devenir réalisateur dès l’obtention de son diplôme. 

Devenir réalisateur, c’est choisir de s’inscrire au cœur de la création des œuvres audiovisuelles d’aujourd’hui, ce qui requiert de suivre des études supérieures techniques.

Quels sont les différents métiers du cinéma ?

Publiée le 7 mars 2023
Quels sont les différents métiers du cinéma ?

Le cinéma est une industrie qui regroupe un très grand nombre de métiers appartenant à des branches très variées : la créativité, la logistique, l’information, la publicité, la technique multimédia, etc. Zoom sur les principales catégories de métiers du cinéma. 

 

Les métiers de la création dans le cinéma 

La dominante artistique du cinéma est bien connue et le secteur regroupe de nombreux emplois de créatifs. Participent à la création d’une œuvre : les costumiers, les accessoiristes ou les maquilleurs. 

Il en va de même des infographistes, qui élaborent la communication visuelle d’un film, permettant de promouvoir l’œuvre et de lui donner une esthétique unique. Naturellement, font également partie des métiers créatifs du cinéma les postes de : réalisateurs, scénaristes, dessinateurs, animateurs ou comédiens. 

 

Métiers de la logistique au cinéma : un duo gagnant 

Avant, pendant et après le tournage interviennent de nombreux corps de métier. Ces emplois consistent en des postes d’encadrant dont l’objectif est de superviser des opérations d’acheminement de matériel, d’organisation du personnel ou même d’administration d’un film. 

Par exemple, les métiers de la logistique dans le cinéma sont fortement représentés par les directeurs et les assistants de production, qui veillent à mettre en place tous les plannings des techniciens, des acteurs et des figurants sur le plateau. Ils organisent l’acheminement des repas jusqu’au lieu de tournage ou encore s’assurent d’obtenir les moyens matériels et humains en temps et en heure pour pouvoir tourner. 

Ces experts officient également dans le cadre des activités de postproduction, essentielles à la création d’une œuvre de cinéma. C’est le directeur de post-production qui administre et gère toutes ces étapes : il intervient donc de près dans la logistique d’après-tournage. 

 

Le cinéma : quels sont les métiers de la réalisation ? 

Dans l’univers de la réalisation existent de multiples métiers : cadreurs, chefs opérateurs, réalisateurs ou encore directeurs de la photographie. Très présents au moment du tournage, ces professionnels interviennent en réalité tout au long de leur projet. Ils participent aux réunions d’élaboration, à la rédaction du cahier des charges, pilotent les activités des membres de leurs équipes et vérifient la qualité du résultat proposé. 

 

Cinéma et technique : des métiers très en vue 

L’industrie du cinéma se caractérise aussi par son haut niveau de technicité. Le secteur emploie en effet de très nombreux techniciens du son, de l’image, des étalonneurs, mixeurs ou experts des effets spéciaux. 

Dans la branche technique du cinéma, on retrouve des métiers très variés comme technicien vidéo, opérateur lumière et éclairage, machiniste ou encore lighting artists, animateur 3D et expert de la réalité virtuelle. 

 

Le cinéma au quotidien : des métiers recherchés 

Le cinéma est enfin représenté par des métiers permettant de diffuser les œuvres, comme les responsables de salle, les spécialistes de la diffusion, les directeurs d’antenne, etc. Ces experts du cinéma et de l’audiovisuel travaillent de concert avec les responsables de la communication, les attachés de presse et les marketeurs (généralement au sein d’une boîte de production). 

Pour tout comprendre du paysage que composent les métiers du cinéma et exercer dans le secteur, il faut suivre une formation spécialisée au sein d’un établissement supérieur reconnu, à l’instar de l’ESIS. 

Avec le développement du numérique, de nouveaux métiers voient le jour dans le cinéma. Les professions classiques restent néanmoins stables et l’industrie continue d’embaucher massivement.

Masterclass : plongée dans les coulisses de la VFX avec Sébastien Drouin

Publiée le 3 mars 2023
Masterclass : plongée dans les coulisses de la VFX avec Sébastien Drouin

Les masterclass ESIS font se rencontrer, le temps d’une soirée, les étudiants et leurs futurs collaborateurs : les cinéastes et autres professionnels du son, de la musique et de l’audiovisuel. Ces entrevues permettent de découvrir l’envers d’un décor soigneusement élaboré. L’invité du jour, Sébastien Drouin, vient présenter le monde de plus en plus populaire de la VFX. 

 

 

 

 

 

Masterclass ESIS : le récap

Chaque mois, de nouveaux invités viennent à la rencontre des étudiants de l’ESIS. Ces évènements sont appelés : masterclass, ou rencontres professionnelles. Elles prennent place dans le grand plateau du campus principal, prêt du Canal Saint-Martin, dans le dixième arrondissement de Paris. Qu’ils, ou elles, soient metteurs en scène, comédiens, scénaristes, costumiers, décorateurs, chefs-opérateurs, ingénieurs du son, animateurs de films d’animations, ou, comme ce soir, superviseurs VFX, tous ces invités se plient au jeu. Ils viennent échanger avec les étudiants, qui représentent le futur de leur métier. Ils viennent aussi donner un point de vue unique sur l’industrie du cinéma et du son, ses coulisses, son évolution au fil des ans… 

Les masterclassde l’ESIS, c’est aussi l’occasion de découvrir des parcours atypiques. Des parcours qui pourraient bien finir par ressembler à celui des étudiants. En général, ils commencent avec de la passion. Une fascination innée pour le cinéma, le montage, le son, la musique… C’est le premier point commun des étudiants de l’ESIS avec les invités des masterclass. Et c’est aussi le premier point sur lequel ils sont jugés lors des entretiens de concours d’entrée dans l’école. L’appétence que l’on montre à un domaine et un sujet, la curiosité dont on peut faire preuve, c’est l’une des clefs du succès. Surtout dans un métier de passion comme le cinéma ou la musique. 

Pour le moment, le wall of fame de l’ESIS (le mur des célébrités, littéralement un grand pan de mur du campus consacré aux photos signées en souvenir de chaque invité croisé en masterclass) compte déjà de nombreux invités. Tous, de grands noms du cinéma et de l’audiovisuel. Pour n’en citer que quelques-uns : 

  • Jamel Debbouze, humouriste et réalisateur 

  • Vincent Mathias, chef opérateur et directeur de la photographie 

  • Justine Vivien, créatrice de costumes 

  • Laurent Poirier, chef opérateur son 

  • Jean-Pierre Jeunet, réalisateur et scénariste 

  • Aline Bonetto, chef décoratrice 

  • Patrice Leconte, réalisateur et scénariste 

  • Paul Lainé, chef opérateur son et mixeur 

  • André Dussollier, acteur 

  • Léa Drucker, actrice 

  • Anne Le Ny, actrice, scénariste et réalisatrice 

Sébastien Drouin : passion VFX

Nouveau visage à ajouter sur le mur des rencontres de l’ESIS, mais aussi nouveau parcours de découvert pour les étudiants.Sébastien Drouin est un superviseur VFX de renom dans l’industrie du cinéma et de l’audiovisuel. Il a travaillé sur de nombreux films et même quelques séries comme : Cold Meat, Pièces détachées, Fearless – Saison 1, Daddy Cool, et Pop Redemption. 

En tant que superviseur VFX, Sébastien Drouin travaille en étroite collaboration avec les réalisateurs, les producteurs et les équipes de production pour créer des effets visuels incroyables et immersifs pour les films. Si son métier principal est bien de superviser les équipes de VFX pour s’assurer que les délais et les budgets sont respectés tout en maintenant un niveau de qualité élevé, il se forge lui-même réalisateur et scénariste. C’est d’ailleurs en tant que scénariste qu’il est lauréat de la 18e édition du Festival International du film d’aventures de Valenciennes en 2007. Il remporte la mention du jury pour son court-métrage : Pièces détachées 

Au cœur de la masterclass, son parcours professionnel. Ponctué d’anecdotes, de rencontres et de la description des films qui l’ont le plus inspiré : son discours amuse, émerveille et ravive la passion des étudiants pour l’industrie cinématographique. Il interroge sur la question de l’intelligence artificielle dans la production audiovisuelle. Et expose même les premiers jets de son tout nouveau scénario. Plus qu’un simple échange avec les étudiants, pour cette soirée, Sébastien Drouin s’engage dans la passation de savoir avec les générations futures de l’animation 3D et de la VFX.

 

Bachelor cinéma et VFX

Dans l’amphithéâtre, en face de Sébastien Drouin, les étudiants. Majoritairement issus de la filière Bachelor Cinéma et VFX, cet évènement est un véritable atout pour eux. Ce cursus intègre l’ensemble de la chaîne des métiers du cinéma. La formation dispose de 5 options distinctes : Réalisation, Image, Montage, Production, Post-production & effets spéciaux (VFX). Durant ces trois années d’études, les étudiants apprennent à maîtriser les fondamentaux d’un projet audiovisuel. La spécialisation se combine à une pédagogie par projets. Les étudiants tentent leur chance à tous les postes et, seulement après, choisissent leur branche de prédilection.

Chaque mois donc, les étudiants assistent à des masterclass. En présentiel pour les filières les plus concernées, en distanciel pour les autres cursus. Ces rencontres sont de véritables atouts pour de jeunes cinéastes à la recherche de contacts professionnels supplémentaires, ou pour des passionnés avides de partage et d’échanges. C’est l’occasion de voir, en version abrégée et accélérée, comment passer du statut d’étudiant à celui de professionnel de l’industrie.

Pour participer à ces masterclass, rien de plus simple. Il suffit d’être inscrit.e à l’ESIS. Chaque mois, un mail est envoyé par le réseau de l’école, le Réseau GES, mais également par les attaché.es de promotion de chaque filière. Et, pour les absents, une version teaser puis condensée est publiée sur les réseaux sociaux de l’ESIS : Instagram, TikTok et YouTube.

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