Retour sur notre collaboration avec Universal Music

Publiée le 13 juin 2017
Retour sur notre collaboration avec Universal Music

Comme nous vous l’avions déjà indiqué, nous avons un partenariat avec le label que l’on ne présente plus Universal Music.

 

Cette année, ils nous ont confié la réalisation d’un clip pour Aron OTTIGNON, qui n’est pas un inconnu car il a contribué au succès de Stromae avec Papoutai. Aujourd’hui il vole vers de ses propres ailes avec un album entre, notamment, Jazz et électronique.
Nos étudiants ont eu alors la lourde tâche d’écrire et de réaliser un clip pour le titre « Starfish ».

Ce clip a été réalisé par Tom PEYRONY. Il a été secondé par :
• le régisseur général, Maïlys BENCHABANE
• le producteur, Théa RUBINSTEIN
• le 1er assistant réalisateur, Axel ROBERT
• le second assistant réalisateur, Anthony FONTBONNE
• le chef opérateur, Hugo BARDOULA
• le 1er OPV, Samy SALHI
• le cadreur, Jessy LORRE
• le scripte, Quentin MORTREUX
• le chef machiniste, Erwan BERTELLE
• le chef électricien, Baptiste MARET
• l’équipe électro/machino, Émile MAINKA et Logan DURON
• l’accessoiriste, Christophe TEISSEDRE
• le monteur, Émile MAINKA

Ce clip assez conceptuel est visible sur le lien suivant : CLIP STARFISH

Bon visionnage et à très vite pour de nouveaux clips…

Comment j’ai rencontré mon père, un film à ne pas rater…

Publiée le 9 juin 2017
Comment j’ai rencontré mon père, un film à ne pas rater…

Nos étudiants sont des passionnés de cinéma et de musique ..C’est pourquoi, lorsqu’un film sort de l’ordinaire, ESIS n’hésite pas à le soutenir et le recommander aux amoureux du Septième art…

 

Ce film est  » Comment j’ai rencontré mon père », écrit et réalisé par Maxime MOTTE. Il est sorti dans les salles le 7 juin 2017.
Il est composé d’un casting de qualité :Isabelle CARRÉ, François-Xavier DEMAISON, Albert DELPY, Diouc KOMA et le jeune OWEN KANGA.
Cette comédie raconte les péripéties d’Enguerrand, petit garçon adopté d’origine africaine. Dans sa famille rien ne se fait comme ailleurs !
Son père, Eliot, assume si peu d’être un père adoptif qu’il bassine son fils à longueur de journée sur ses origines africaines. Pour sa mère, Ava, Eliot en fait trop : trop aimant, trop étouffant… Une nuit, Enguerrand croise le chemin de Kwabéna, à la peau noire comme la sienne, qu’il se choisit comme père biologique ! De péripéties en rebondissements, l’aventure qui les attend pourrait bien souder la famille comme jamais.
On vous invite donc à aller le voir, d’autant que les critiques sont très positives :
NAGUI, RTL
« On vous encourage à aller voir ce film. Une très bonne comédie avec du rythme et du fond. Le sujet du film c’est la vie. »

Thomas HUGUES, RTL
« Un coup de maître »

Jeanne THIRIET, MELLOW MAGAZINE
« A voir en famille pour ouvrir ensemble son coeur et son intelligence. »

Damien THÉVENOT, FRANCE 2
« Coup de coeur absolu. »

Stephane BERN, EUROPE1
« Un film touchant, drôle, un peu déjanté »

ELLE MAGAZINE
« Un film qui fait du bien »

Vous voulez vous faire votre propre idée ? allez voir la bande annonce : cela se passe par ici : http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19567869&cfilm=177631.html

Mais le mieux, c’est d’allez voir le film …

Ingénieur du son, futur métier de Thomas

Publiée le 8 juin 2017
Ingénieur du son, futur métier de Thomas

Thomas ROGUES de FURSAC, étudiant en troisième année Son option « Cinéma télé Radio » nous livre son parcours à l’ESIS et sa passion pour le métier d’ingénieur du son.

Je suis actuellement en troisième année à l’ESIS dans la section son de l’établissement. J’ai toujours été féru de cinéma et de musique et le métier d’ingénieur du son m’a toujours intéressé.

Après avoir commencé à faire mes projets avec mes amis ou dans mon home studio j’ai décidé de faire du métier d’ingénieur du son le mien, c’est pourquoi j’ai intégré l’ESIS. De plus, certains de mes amis, déjà présents dans l’établissement m’ont conseillé la formation son de cette école.

Cette formation présente plusieurs points forts notamment la petite taille de l’école qui permet un contact facile avec les autres élèves ainsi qu’avec les professeurs ce qui permet une bonne entraide entre chacun et un rapport différent de celui professeur/élève, plus poussé et plus stimulant. L’accès aux studios ainsi qu’au matériel et au parc micros est aisé et permet donc à chacun d’approfondir ses connaissances acquises en cours en pratiquant de son côté sur des projets personnels ou bien juste pour s’entrainer.

Le fait de s’ouvrir sur tous les corps de métiers du son les premières années est également stimulant et motivant et permet de voir le milieu du son dans son ensemble pour ainsi se spécialiser suite à nos différents stages et rencontres et aussi grâce à certains TP mis en place pour mettre en pratique les cours théoriques effectués au préalable.

Les professeurs étant tous des intervenants déjà actifs dans le milieu, est également une chose qui pousse à apprendre auprès d’eux. Je pense notamment à des professeurs comme Mickael Rangeard, Benjamin Jaussaud, Charles Pouchayret, Charles Michaud ou encore Jean-Loup Morette et bien d’autres. Le fait de pouvoir apprendre de leur expérience est très important quant à l’orientation que nous prenons pour la suite de nos études, que ce soit dans le domaine du tournage, de la post – production ou encore du studio.

J’ai également pu découvrir le monde professionnel durant mes stages dans le monde de la post – production ou encore de la musique dans des studios comme le Studio Belleville ou encore Studio Garage/La fugitive, et également durant des séances que j’ai pu effectuer ponctuellement comme à Midi Live. J’ai donc pu avoir une vision claire du monde dans lequel je suis susceptible d’évoluer par la suite.

Tous ces points qui précèdent sont selon moi les aspects qui font les principaux points forts de l’école et qui m’ont motivé à donner le meilleur de moi même tout au long de ces trois années.

Timothée Bost, le parcours d’un ancien étudiant son

Publiée le 5 juin 2017
Timothée Bost, le parcours d’un ancien étudiant son

Timothée Bost a suivi le cursus Son, option Ciné-Télé-Radio. Il est sorti diplômé de l’école en 2015. Il nous livre son parcours.

 

Je me suis inscrit à l’ESIS (comme beaucoup) afin d’apprendre le métier d’ingénieur du son studio, étant musicien et passionné de musique. Mes ambitions et mon objectif professionnel ont par la suite évolués au fur et à mesure que j’ai découvert la diversité des métiers du son. Je cherchais alors une école proposant une formation adaptée au marché actuel du travail, et à l’échelle humaine, proche de ses étudiants.

Durant ma formation, j’ai découvert de nombreuses professions du son que je ne soupçonnais pas, et qui ont fait évoluer mes objectifs professionnels. Je me suis passionné pour la création sonore et l’alchimie provoquée par l’association de l’image et du son. J’y ai appris les notions indispensables à tout ingénieur du son, ainsi qu’une foule de choses que je ne regrette pas. J’ai également appris à développer mon sens critique de l’écoute, et ma capacité à imaginer l’univers sonore qui conviendrait à un projet.

Depuis ma sortie de l’ESIS et l’obtention de mon diplôme, j’ai pu occuper de nombreux postes :
Chef Opérateur son (fictions, télévision, publicité, documentaires…)
Sound designer / Monteur son (séries d’animation, fictions…)
Mixeur film (fictions…) Régisseur son / Assistant plateau / Opérateur son façade (festivals / spectacles / concerts…)
Formateur Son occasionnel

Aujourd’hui, je cherche à obtenir mon statut d’intermittent du spectacle (prévu pour l’année 2017).

Je travaille donc en CDDU, sur divers tournages en tant que Chef opérateur son (productions HVH, Birth TV, PMSA…), ainsi qu’en tant que Sound designer et monteur son sur des films de fiction et d’animation.

J’ai monté mon propre studio de montage son et de bruitage, et travail en collaboration avec d’autres Sound designers pour proposer une équipe soudée et prête à prendre en charge de gros projets aux productions.

Une fin d’année en apothéose: projection des films

Publiée le 3 juin 2017
Une fin d’année en apothéose: projection des films

Les films de de nos étudiants de première, deuxième et troisième années ont enfin été tournés, montés et mixés. Ils sont tous passés en Commission.

 

Ces films de très bonne qualité ont évoqué des drames, des comédies (parfois potaches) mais ce fut aussi des clips, des court-métrages, des publicités, des films VFX … Bref tous les genres et les formats ont été représentés.
Maintenant, une sélection va avoir lieu et les « meilleurs » (c’est tellement subjectif) vont être projetés dans une salle de cinéma. Pourquoi une salle de cinéma ? Parce qu’il est normal de projeter les œuvres de nos étudiants sur grand écran.
Cet évènement aura lieu au Cinéma du Panthéon au 13 rue Victor Cousin 75005 Paris.

De la théorie à la pratique

Publiée le 19 mai 2017
De la théorie à la pratique

À l’ESIS, notre enseignement est en grande partie axé sur la pratique…Nos étudiants sont donc très vite confrontés à des professionnels et cela peut aboutir à de belles expériences …

 

Ainsi, dans le cadre de leur cursus, nos étudiants en son, notamment les deuxièmes années, ont eu un cours de recording.
La pratique étant essentielle, un groupe violon voix s’est prêté à l’exercice.
Nos étudiants ont donc enregistré en studio, à l’école, le groupe The Captains, un duo talentueux voix – violon, composé de Sophie CHRISMENT et Simon CARRIÈRE.
Le contact est tellement bien passé entre le groupe et deux de nos étudiants, Thomas CHEVRIS et Corentin DELFOSSE, qu’ils sont en train d’enregistrer tout un album.

Cet album va regrouper 9 chansons qui sont des reprises folk-pop-rock.

Pour avoir espionné pour vous, cela va être, à mon avis, un très bon album …Vivement la suite.

Le choix de l’ESIS, expliqué par Marianne Bouin

Publiée le 25 avril 2017
Le choix de l’ESIS, expliqué par Marianne Bouin

Choisir une école, son école, n’est jamais un choix aisé. Nous avons demandé à Marianne BOUIN, étudiante en deuxième année audiovisuel de nous expliquer son choix.

Je suis en seconde année à l’ESIS. En fin de terminale, mon choix s’est porté sur l’audiovisuel, domaine de création polyvalent et en constant renouveau.
J’ai choisi l’ESIS pour trois raisons. Premièrement, sa capacité à me donner les moyens de créer autant que je le souhaite : l’école prête du matériel à tout étudiant souhaitant réaliser un projet personnel, en plus des projets du cursus. Ensuite, l’application de la théorie à la pratique ; tous nos professeurs sont des professionnels et leurs cours se retrouvent dans les situations du réel auxquelles nous sommes confrontés lors de travaux pratiques, projets et stages. Enfin, ce qui m’a décidée est l’ambiance propre à l’école. L’ESIS est de taille modeste (un peu plus de 150 étudiant et quelques responsables administratifs) ; par conséquent nous nous connaissons tous, peu importe les filières. On nous encourage à travailler ensemble, et je crois que nous le ferions même si ce n’était pas le cas : peu importe les sensibilités et les cinéphilies différentes, nous sommes avant tout complémentaires. Pour moi, c’est ça l’ESIS !

 

Nos anciens peuvent toujours compter sur nous

Publiée le 13 avril 2017
Nos anciens peuvent toujours compter sur nous

Lors de leur scolarité, nous incitons nos étudiants à emprunter notre matériel pour faire des projets personnels. En effet, plus ils feront des projets et plus ils auront de visibilité.
Cette philosophie est aussi valable pour nos anciens étudiants.

Ces derniers, à travers les différentes rencontres qu’ils font lors de leur stage ou de leur emploi, essayent de développer des projets.
Ainsi, Suzanne MERLE a rencontré un groupe de métalcore, qui a une certaine notoriété dans le milieu. Très vite est venu l’idée de tourner un clip.
Suzanne a alors écrit et réalisé un clip d’une durée de 4 minutes. Elle s’est entourée de camarades de sa promotion. Ainsi,
• Jules TEYANT a fait office de machino, figurant, monteur et étalonneur
• Calixte BORDET a été assistante réalisatrice et productrice du clip
• Ewin RICHARD a été le chef opérateur
• François BENICHOU a été cadreur
• Anne-Charlotte BARRIEUX a rempli les rôles de régisseuse et assistante réalisatrice
• Camille LEPRIEUR a rempli la fonction de machiniste
Ce clip a été tourné en une journée au Studio BERCY. Nos anciens étudiants ont emprunté une partie du matériel à l’école et sont en train de monter chez nous le clip.

Nous sommes sûrs que cela sera une réussite et nous ne manquerons pas de vous donner des nouvelles du clip afin que vous puissiez allez le visionner !

Difficile de faire sans VFX aujourd’hui

Publiée le 12 avril 2017
Difficile de faire sans VFX aujourd’hui

Aujourd’hui, le cinéma, l’audiovisuel…ne peuvent se passer des effets spéciaux. « Une armée » peut travailler sur un film pour intégrer des monstres, transformer un décor, simuler une explosion de voiture …Bref, aujourd’hui les VFX sont indispensables.

Ainsi, à l’ESIS nous avons une option VFX. Nos étudiants travaillent alors sur de nombreux logiciels tels ©after efects, ©nuke,©3DSMAX…

Les personnes travaillant dans le domaine des VFX sont à la fois des artistes et des techniciens …Cela requiert de la rigueur et de la patience pour avoir un effet abouti qui se fond bien dans les images tournées par les équipes audiovisuelles, parfois avec fond vert, parfois sans fond vert. Mais il est vrai que les VFX contribuent à nous faire rêver !

Nos étudiants travaillent sur des Show reel, des fan fictions , en l’occurrence cette année « Resident Evil » et « Sin City », un film VFX de troisième année, des publicités ..Nous sommes impatients de vous montrer les résultats ..en attendant, je vous laisse visionner ce que savent faire nos étudiants depuis longtemps …suivez le lien : https://vimeo.com/212823922

Margaux, passionnée de VFX

Publiée le 7 avril 2017
Margaux, passionnée de VFX

La chance de cette école est d’avoir des étudiants passionnés par leur futur métier. Margaux est passionnée par la post-production et les VFX et nous livre son témoignage.

« Je m’appelle Margaux Chambas, j’ai 22 ans et je suis actuellement en 1ère année à ESIS, section VFX. En 1ère année, la section VFX est intégrée à la classe Audiovisuel car nous avons la plupart des cours en commun.

Après un BMA, une prépa de dessin et une année de formation logiciels 2D et 3D, j’ai décidé de m’orienter vers une filière plus spécialisée en effets spéciaux post-production.

J’ai choisi ESIS pour sa formation personnalisée en petits groupes où les professeurs sont disponibles et suivent nos progrès. Cette formation me parait le mieux refléter l’idée que je me faisais du VFX : travail minutieux et précis mais aussi très humain avec le travail en équipe multidisciplinaire. Un autre point fort de cette école est certainement son professionnalisme : les étudiants se forment sur du matériels de pointe, peuvent avoir des expériences professionnelles et sont encouragés à multiplier les contacts professionnels.

Pour toutes ces raisons, je recommanderai cette école aux étudiants souhaitant connaître le monde de l’image que ce soit production ou post-production. »

200